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La conscience et l'ensemble des phénomènes qui s'y rattachent s'établissent au niveau quantique. Il nous est très difficile de raisonner à ce niveau, notre mental n'étant pas préparé à cela. La pensée humaine, formée à tout autre chose, a bien du mal à envisager les réalités quantiques, ce qui explique entre autre qu'il est très difficile de parler de la conscience. L'évolution de la recherche fondamentale a permis, en physique et en mathématique, de se familiariser progressivement avec cette dimension du réel aux aspects déroutants. Toutefois, les questions débattues amènent encore plus d' interrogations que de réponses, en partie à cause des présupposés théoriques qui orientent les recherches : envisager la physique quantique sur les bases d'une " mécanique quantique ", trouve vite ses limites, car les réalités quantiques sortent largement des cadres du raisonnement attaché à une mécanique newtonienne. Il est indispensable d'élargir le champ des concepts, y compris en dehors des données de la physique, pour aborder ce domaine. Certains chercheurs ont accepté cela et s'engagent dans des voies non conventionnelles d'étude, ce qui n'est pas sans présenter certaines complications éthiques et déontologiques pour un esprit scientifique. En effet, lorsqu'on aborde la physique des particules au niveau quantique, on est rapidement confronté aux manifestations de la conscience, sous toutes leurs formes. Le fait que la modulation de fréquence de l'onde de conscience induise un ressenti d'amour, jette vite sur les recherches le discrédit de la subjectivité, de la dérive spirituelle, de l'égarement, de l'irrationalité. Le fait que la célérité de l'onde de conscience soit infinie, que la conscience puisse se propager sous forme immatérielle et s'attache également à la matière qu'elle génère par ailleurs, sort totalement des principes établis en physique ; la notion même de conscience n'y ayant aucune place, tant il est vrai que les réalités quantiques peinent à s'assujettir aux Lois de la Physique... Les chercheurs téméraires qui s'orientent, même timidement, dans ces directions, y perdent rapidement leur réputation. Pourtant, bon nombre de démarches et de découvertes scientifiques sérieuses et déterminantes n'ont en fait rien de rationnel : conséquences d'erreurs, de contretemps, d'intuitions sans fondement, de hasards expérimentaux..., semblant indiquer que d'autres niveaux que celui de la seule raison sont à l'œuvre dans le processus. Un esprit scientifique solide, assis dans la rationalité sans faille de sa logique cartésienne, doit néanmoins pouvoir trouver le moyen de dissocier les épiphénomènes liés à l'expérience subjective, de l'objet d'étude, par le calcul rationnel. De ce point de vue, les « énoncés du changement » fournissent des outils de travail et un cadre d'approche originaux, exposés dans les trois premiers chapitres. Présentée sous la forme d'une théorie de l'information, l'étude de la conscience, du lien conscience-matière, du réel, devient compatible avec une approche scientifique stricte. L'unité d'information inférée à l'élément de conscience détermine les capacités d'ouverture, de liaisons, de combinaisons en champs immatériels, ou reliés à la matière dès sa formation élémentaire, par les relations quantiques qui s'établissent entre ondes et particules. Il serait très intéressant que des scientifiques, quels que soient leurs positionnements théoriques, acceptent d'introduire dans leurs travaux de recherche, les outils de calcul suggérés par les « énoncés », pour voir où cela pourrait conduire. Pour le moment, il semble admis que l'observateur influence le résultat de l'expérience, que des particules en lien, que l'on sépare même par de longues distances, restent en relation, et que la vitesse de la lumière n'est peut-être pas une limite sacrée..., c'est un début. Le très vif engouement actuel pour le "quantique'' et la floraison spectaculaire de concepts, de courants de pensée, de pratiques, qui s'en réclament, traduisent en fait que chacun, scientifique ou non, ressent que là se trouvent les racines du réel et que là également se forgent les clefs de notre avenir. Pour un non-scientifique, la nécessité de mettre la réalité en équations ne s'impose pas et, de fait, pour se situer au niveau quantique, il suffira d'orienter convenablement l'activité mentale de sorte que l'accès à la conscience devienne possible. Les travaux de Marasu EMOTO sur l'eau, avec simplicité et poésie, posent bien la question de notre relation " ordinaire " au quantique, ( voir le document : « champs de conscience de l'eau » *). La médecine homéopathique, fort décriée, et fort appréciée également, présente le mérite d'un recul pratique appréciable et obtient des résultats significatifs, non seulement en soins adultes, mais aussi pédiatriques et vétérinaires. Son mode d'approche quantique se fait jour actuellement, car à partir de prescriptions d'où toute trace de la substance active a parfois disparu, seule subsiste l'information qui, transmise aux champs de conscience des cellules de l'organisme, va susciter l'élan curatif. On pourrait multiplier les exemples, car chaque fois que l'on se place dans des conditions favorables, l'accès aux phénomènes quantiques est rendu possible. ( Depuis le chamanisme d'origine préhistorique et toujours très actif, de nombreuses pratiques, qui s'adressent directement au mental pour l'apaiser, l'orienter, ont la réputation d'ouvrir la voie à des expériences de conscience particulières : précognition, visions, bilocation, télépathie, clairvoyance, guérisons spontanées, voyages hors du corps... ) Tous ces phénomènes, jugés irrationnels, peuvent vraisemblablement sortir de ce statut où ils sont obligatoirement remisés présentement, pour devenir ordinaires et naturels. Néanmoins, il importe essentiellement et avant tout, de comprendre la nécessité d'ouvrir le mental à la conscience, en trouvant le chemin de l'être intérieur, pour répondre à un nécessaire besoin d'évolution et finalement assumer notre place dans l'univers. Pour cela, nous avons à apprendre à nous situer au niveau quantique pour accéder aux flux d'informations du domaine de la conscience. Pour prendre place dans le flux quantique de la conscience, il est indispensable de pouvoir, clairement, recevoir d'une part et émettre d'autre part l'information caractéristique de ce flux. S'exercer à percevoir l'amour en tout permet de stabiliser l'ouverture à la conscience car cette démarche règle en quelque sorte notre récepteur mental sur la modulation de fréquence de la vibration de conscience. Pour devenir émetteur, il sera nécessaire de recourir à l'intention. L'intention est un état d'esprit très particulier qui, à condition d'être sincère, sans ambivalence, permet d'accorder une disposition mentale avec un engagement de l'être. Alors, avec une intention claire, on peut soulever des montagnes. Les connexions qui s'établissent à partir de l'information émise par une intention nette créent dans le flux quantique de la conscience les combinaisons de champs qui lui correspondent, engendrant toute une chaîne de conséquences. En définitive, même si cela reste peu envisageable pour un mental chaotique, se situer au niveau quantique ne semble pas une opération si complexe, en tout cas pas réservée aux seuls scientifiques, mais à la portée de tous, à condition de se rendre apte à communiquer. A nous d'apprendre à recevoir l'information de la conscience et à émettre des informations cohérentes sous forme d'intentions claires.
* Document sur le champ de conscience de l'eau : https://www.youtube.com/watch?v=rZOtK2elLSA
___________ Date de création : 03/08/2013 @ 20:49 Réactions à cet article
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